Il parait que pour être heureux, nous devons être épanoui, vrai, réaliser nos rêves, voire être adulé, entouré, avoir le leadership... Toutes ces idéologies de développement personnel, qui fait écho à ce que la société attend de nous, nous pousse certes dans une quête de perfectionnement, mais aussi de frustration, de désirs souvent faux qui ne nous correspondent pas.
Cette frustration, cette perte de repère, cette quête d'une vaine gloire qui flatterait notre égo sont du pain béni pour notre société, car des gens frustrés (Freud) sont de bons petits consommateurs.
Et si le véritable bonheur résidait ailleurs ?